Quelle est la dangerosité du cannabis ? Meta étude.

Dernière mise à jour le 26/07/2016

Le référendum Suisse sur le cannabis permet la diffusion des connaissances scientifiques sur ce produit…

Source : http://www.chanvre-info.ch/info/fr/Quelle-est-la-dangerosite-du.html
Date : 28-09-2008

Le
but de cette contribution est de fournir une vue d’ensemble objective
sur les connaissances scientifiques de la recherche nationale et
internationale.
La présentation d’une information falsifiée d’une augmentation
nouvellement découverte, de même d’un danger "médicalement prouvé" sont
à tous les égards contre-productives

Il est interdit en France de publier la vérité sur le
cannabis (LStup, prosélytisme), alors nous avons dû traduire un texte
provenant de l’Allemagne.
Après 100 ans de recherches et 500’000 consommateurs quotidiens en
Europe, comment des dégâts sérieux auraient pu rester inaperçu
jusqu’ici ? Les innombrables examens nationaux et internationaux
auraient dû découvrir de potentielles entraves corporelles aggravantes,
pourvu qu’elles existent réellement.

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Quelle est la dangerosité du cannabis ? Meta étude.

Quelle est la dangerosité du cannabis ?

Une analyse scientifique d’études actuelles sur le cannabis sativa L.

Ces derniers temps les informations publiées par les
médias, d’après lesquelles la consommation de cannabis doit être de
loin plus dangereuse que généralement supposé se répète à nouveau.
Elles renvoient à une concentration plus forte de substance active, qui
devraient faire du cannabis un danger et une drogue qui engendreraient
la dépendance. Même dans les salles des tribunaux cette attitude se
reflète, en particulier lors des plaidoyers de beaucoup de procureurs
généraux.

Ceci malgré que beaucoup d’études scientifiques existent, qui se sont intensivement occupées du danger du cannabis.

Nicole Krumdiek s’est donné la peine, dans le cadre de
sa thèse de doctorat, de collectionner les nombreuses études, de les
analyser et les comparer, et elle est tombée sur des résultats
intéressants …

Traduction part Chanvre-Info.ch de l’article original de madame Dr. Krumdiek avec toutes les notes de bas de page :

Cannabis sativa L. et le renouveau de vieux préjugés.

Toujours et encore on entendait dans un passé récent
dans les salles de tribunaux des exposés comme : "… il ne peut être
question d’inoffensivité…" ; "…il en résulte les psychoses graves
des consommateurs …" ; "…quant au contenu élevé et incessamment
croissant de substance active on ne peut pas non plus parler d’une
drogue douce…".

Ces paroles proviennent toutes, plus ou moins
identiques, du contenu des plaidoyers tenus récemment par des
procureurs en procédure de LStup. Il y est question de la substance
cannabis sativa L. [1]

Ceci n’est pas non plus surprenant quant aux article [2]
publiés récemment dans des revues juridiques spécialisées, sur le sujet
du cannabis. Car là aussi on parle de "consommateurs gravement
dépendants du cannabis", "échantillons de fleurs de cannabis avec un
taux supérieur",  »possibilité de tomber malade d’une schizophrénie non
toxique, dépression ou perturbations dues à l’angoisse", "une
réapparition de THC du tissu adipeux dans le circuit", "symptômes de
sevrage", " neurocognitivité diminuée","Troubles psychique et
psychosociaux " aussi bien que des "consommateurs physiquement
atteints" et ainsi suite des scénarios d’horreur rapportée comme typiques
de la consommation de cannabis.
Et les conclusions sont alors généralement présentées avec des
explications comme : "… on ne peut donc que lancer une mise en garde
d’une légalisation du cannabis toujours et encore discutée…" [3]
"…de même, c’est l’augmentation de la qualité du haschich et de la
marihuana qui explique la scrupuleuse pratique et l’attitude de
beaucoup de Lands par rapport à des quantités limitées de cannabis pour
la consommation personnelle conformément à § 31 a BtmG…" [4].

Ces présentations sont soulignées avec les informations prétendument sérieuses des chaînes de télévision étatisées [5],
on ne doit pas nier que ses mises en scène ont un effet médiatique,
efficace certes, mais ne sont d’aucune aide dans le cadre de
l’éducation générale. [6]

En conséquence il est difficile de faire des reproches
aux jeunes générations des ministères publics. Car il semble qu’ici ce
n’est pas un manque d’information qui cause problème, mais plutôt la
mauvaise information tout court.

Tant qu’un juge sensé est chargé de la responsabilité à
conduire des audiences, ces mauvaises informations ne peuvent pas
influencer la sévérité de la peine. Ceci se présente cependant déjà
différemment, quand des assesseurs participant aux audiences qui ne
sont justement pas fondées du même principe de l’expérience et des
connaissances du juge, prennent donc les déclarations des avocats
généraux fréquemment comme fait établi. Des explications contraires de
la défense sont transformées seulement en "Stratégie" comprise pour
l’obtention d’une remise de la peine sans même prendre en considération
ne serait-ce qu’une éventuelle information objective. On ne doit
pourtant faire aucun reproche aux assesseurs non professionnels sur ce
point, vu que, eux aussi, prennent pour base les comptes rendus des
médias [7] déformant les réalités générales comme sources de connaissance.

Notre contribution se doit, au vu de ce qui précède,
d’essayer, de combattre la propagation croissante et instrumentalisée
d’informations tendancieuses, par conséquent trompeuses. Pour éclaircir
nos propos, il va être donné une vue d’ensemble des recherches
nationales et internationales au sujet des répercussions physiques,
psychiques et sociales d’une consommation de cannabis. Pour transmettre
une connaissance dans l’unité et surtout la multitude des études, nous
allons indiquer nos sources détaillées dans les notes en bas de page.
Celles-ci ne sont qu’une sélection représentative parmi les
innombrables autres recherches comparables. [8]

En particulier, nous allons aussi rectifier l’argument
ajouté ces derniers temps concernant la prétendue importante
augmentation en concentration de la substance active de THC dans des
produits de cannabis, partant, d’un danger augmenté.

I. Potentiel de danger de la consommation de cannabis

Selon l’état le plus récent de la science [9]
ni la consommation modérée ni la consommation permanente des produits
de cannabis ne comportent des risques et dangers considérables
physiques ou psychiques ou autres répercussions sociales négatives [10].

Lors de la présentation plus approfondie nous devons différencier entre des répercussions aiguës et chroniques.

1. Répercussions aiguës de la consommation de cannabis

Comme effets aigus de la consommation de cannabis
peuvent être cités principalement les réactions physiques et psychiques
qui apparaissent au cours d’une ivresse de cannabis [11].
Ceux-ci dépendent et correspondent à l’environnement (setting) et à
l’état de l’atmosphère émotionnelle (set) précédent celle-là. [12] Avec l’affaiblissement de l’ivresse aigu [13]
diminuent généralement aussi les sensations ressenties. L’apparition de
réactions de peur ou de panique (aussi nommées mauvais trips) sont
certes possibles à cause de l’intensification d’émotions existantes. De
telles conséquences sont très rares et atypiques dans le déroulement de
l’ivresse. Elles peuvent arriver presque exclusivement voire uniquement
chez des consommateurs peu expérimentés et sont généralement dues à un
surdosage aigu, à la suite d’une absorption orale. [14]
Habituellement de telles personnes se calment après qu’on leurs ait
parlé en les encourageant. Ainsi un traitement médical ne devient pas
nécessaire. Dans des cas très rares, ces patients abordent pour la
plupart bien à un traitement psychothérapeutique, afin que l’état aigu
puisse être remédié après un temps bref. [15]

Des preuves scientifiquement évidentes, qu’une ivresse
de cannabis aiguë peut aussi déclencher une psychose organique
chronique, ne sont pas avérées. [16]

Par dessus tout ça, il est admis qu’aux effets aigus rassemblés, une dose mortelle de cannabis est jusqu’ici inconnue [17]. Dans les considérations d’une histoire de cannabis vieille de 4000 ans il est admis, qu’elle n’existe même pas du tout. [18]

De plus il doit être ajouté ici, qu’une ivresse aiguë
de cannabis réduit l’agressivité, ce qui est, entre autre, en relation
avec l’abaissement du taux de testostérone dans le sang, phénomène
pourtant à nouveau rétabli dans les 24 heures. [19]
L’exemple
le plus parlant était bien le football- CE 2000 aux Pays-Bas/Belgique.
Lors de cette manifestation, la police a noté clairement moins d’excès,
que lors de manifestations comparables auparavant.

Par contre nous devrons supposer, que la faculté de
conduire est réduite pendant la duré de l’effet aigu. Les détails sont
cependant encore flous. Ce qui est maintenant déjà sûr, c’est que les
conducteurs sous influence du cannabis compromettent significativement
moins la sécurité de la circulation routière que des conducteurs
alcoolisés. [20]
Comme justification à cela il peut être mentionné entre autre, que la
consommation d’alcool mène plutôt à une surestimation tandis, que
l’usage du cannabis induit une sous-estimation de la capacité à
conduire. [21]
De même des études à cela rendaient évident que des consom-mateurs de
cannabis évaluaient fréquemment leur capacité à conduire comme n’étant
pas suffisante après une consommation de cannabis, bien que des tests
correspondants ne peuvent plus répertorier de telle atteinte. [22]
Toutefois, il est naturellement déconseillé que les consommateurs
conduisent des véhicules ou des machines sous l’influence aiguë de
cannabis . Cela vaut évidemment pour le cannabis mais aussi bien pour
toute autre substance enivrante, légale et illégale.

En plus de ça, la fréquence du pouls augmente pendant
une ivresse aiguë de cannabis, au cours de laquelle des patients
cardio-vasculaires peuvent étendre la possibilité de problèmes
correspondants. [23]
Pourtant la consommation de cannabis n’est pas associable avec le
développement de facteurs de risques pour des maladies
cardio-vasculaires comme l’infarctus du myocarde ou l’attaque
d’apoplexie. [24]

Bien que l’effet aigu, quelle que soit la façon de
consommer du cannabis, abrite des risques non seulement calculables
mais aussi supportables en conséquent nous devons déconseiller l’usage,
à des patients cardio-vasculaire et aux usagers de la circulation
routière actifs. Ceci vaut non seulement pour le cannabis, mais aussi
pour chaque drogue – en particulier les drogues récréatives (nicotine
et alcool).

2. Répercussions chroniques [25] de la consommation de cannabis

Au contraire de l’effet aigu on parle des effets
chroniques, quand il reste des changements, suite à l’usage d’une
substance alors que la substance à effet psychotrope n’est plus
disponible dans l’organisme. [26]
À ce sujet, des changements signifiants peuvent parfois apparaître
seulement après des années d’usage régulier. Les examens à l’égard de
ces répercussions se présentent parfois difficilement, vu que dans une
période aussi longue beaucoup d’influences différentes peuvent agir sur
les participants à un examen, ce qui peut modifier le résultat dans une
ou l’autre direction. [27]
Malgré ces doutes il doit être présenté dans ce qui suit quel est le
niveaux de connaissances de la recherche scientifique à ce sujet. Il
est aussi à différencier entre les conséquences physiques, psychiques
et sociales. La question d’une dépendance potentielle physique ou
psychique et l’actuel état des connaissances à l’égard du taux moyen de
substance active aussi bien que les conséquences possibles sont
discutés de façon séparée.

a. Effets physiques à long terme.

Concernant les potentielles répercussions corporelles
chroniques sont à considérer "exclusivement" des atteintes du système
bronchique pulmonaire, qui sont comparables à celles des fumeurs de
tabac. [28]

Y appartiennent bronchite chronique et aiguë,
enrouement, inflammations, changements des muqueuses du nez, gorge et
autres, rétrécissements troubles et hyperactivités non spécifiques des
voies respiratoires, anomalies dans le tissu bronchique aussi bien que
le cancer des poumons. [29] La raison en est, tout d’abord le fait, que le cannabis est consomme fréquemment avec des produits du tabac. [30]

Malgré les études scientifiques il n’est jusqu’ici, à
vrai dire, pas encore prouvé, quelles atteintes sur le système
bronchial et pulmonaire comporte la consommation chronique à court et
long terme de cannabis pur [31]. Malgré diverses études, qui n’ont pas prouvé une relation entre la formation du cancer et la fumée du cannabis, [32]
il est tout de même conseillé de partir du principe du potentiel
semblable des atteintes, lors de l’usage de cannabis avec tabac ou
tabac tout court. Ceci peut s’expliquer par le fait que la fumée du
cannabis brûlé, ressemble beaucoup à la composition de la fumée de
tabac, en particulier pour ce qui est de la concentration en monoxyde
de carbone, goudron et nietrosamine. [33]

Concernant la teneur de benzopyren en revanche, encore aucune étude substantielle n’existe. [34] Il faut donc ici contredire a la thèse [35]
répandue, d’après laquelle la fumée du cannabis contient plus de
goudron et autres matières cancérigènes que la fumée de tabac et serait
ainsi plus nuisible.

Il reste à mentionner que fumer du matériel végétal,
n’importe lequel, est lié par principe avec le risque de provoquer des
atteintes aux poumons. [36]

Par ailleurs on doit indiquer que la matière
psychoactive, le THC même, n’est ni cancéri-gène ni a d’autres
répercussions fonctionnelles sur les voies aériennes périphériques et
les petites bulles pulmonaires. [37] La discussion autour de la teneur plus élevée présumé en substance active, le THC, ne donne ici par conséquence pas de sens.

Ce qui a été dit plus haut vaut, de façon extravertie
uniquement, tant que le cannabis est fumé sous forme de joint pur ou
mélangé avec du tabac. De nouvelles techniques, comme p. ex. celle de
la méthode de vaporisation au moyen de vaporizeurs [38], peuvent réduire à un minimum [39],
tant la formation de goudron, et de monoxyde de carbone, de sorte que
les dégâts pulmonaires et bronchiques peuvent être réduits
considérablement. La prise par voie orale du cannabis [40], transforme ce potentiel de risque logiquement à zéro pour cent.

Les effet négatifs avancés, en plus de ceux cités plus
haut, sont encore et toujours avancés de façon erronée lors d’une
consommation durable et régulière comme : « des répercussions sur le
système immunitaire [41], la naissance d’allergies [42], les organes de vision [43], hormonaux [44], la grossesse, les embryons et nouveau-nés [45], l’anatomie du cerveau [46] aussi bien que l’apparition de retour de flash [47] »
ne peuvent malgré les innombrables études nationales et internationales
jusqu’à aujourd’hui, pas être prouvés ou être attribués à de la
consommation de cannabis. [48]

Part fois il existe pourtant un besoin de recherche. [49]
Ainsi manque encore p. ex. des précisions sur la répercussion des
oscillations d’hormones dues au cannabis pendant la puberté. [50]
A défaut de connaissances scientifiques évidentes, il ne peut être fait
aucune explication concernant cela. Pourtant l’opinion défendue ici est
que, les mineurs et adolescents doivent être principalement instruits
de l’usage de chaque drogue et devraient être éloignés de celle-ci,
idem bien sûr pour les personnes enceintes.

En tout cas on doit démontrer clairement ici ce qui
suit : bien que la recherche ne soit pas terminée, que le cannabis est
tout de même la substance la plus étudiée mondialement. Avec un passé
de recherches scientifiques d’env. 100 ans. [51]
Pour cette raison et vu le fait que, en 2004 en Europe seulement, entre
0,5 % et 2,3 % de la population et ainsi au minimum 250.000 personnes
ont la coutume de consommer au quotidien [52],
la question ce pose : Comment des dégâts sérieux auraient-ils pu rester
inaperçus jusqu’ici ? Les innombrables examens nationaux et
internationaux auraient dû découvrir de potentielles entraves
corporelles aggravant, pour autant qu’elles existent.

De cela nous devons déduire que les résultats et la
connaissance scientifique obtenue jusqu’à présent sur les effets
physique causé par une utilisation de longue durée sont obligatoirement
garantis. Il ressort de ceci que les répercussions corporelles de façon
chronique sont comparables avec celles de la fumée du tabac. Aussi les
faits ne changent rien au fait qu’il subsiste dans quelques domaines
encore un besoin de recherche. Pour ce qui est des répercussions
toujours mentionnées comme p. ex. les atteintes organiques du cerveau,
la remonté de THC dans l’organisme même deux semaines après la
consommation [53], ainsi que l’apparition d’ivresses d’écho. Ceci repose sur une étude unique et non confirmée voire d’études douteuses [54] voire de la simple ignorance au niveau actuel de la recherche.

b. Effets psychiques de longue durée

Lors de l’examen de réactions psychiques se pose la
difficulté particulière, que celles-ci, au contraire des effets
corporels qui sont facilement mesurables, ne le sont pas. Ainsi il est
indispensable pour la recherche dans ce domaine de compter sur les
propos subjectifs et les descriptions des sujets expérimentaux, tant
que ici des valeurs d’observations objectives sous forme de
mensurations ne sont qu’à peine possibles. [55]
Pourtant il peut aussi être déduit des observations objectives des
conclusions générales de caractère obligatoire, que lors de
l’évaluation des effets psychosociaux, tant les composantes subjectives
qu’objectives jouent un rôle décisif. [56]

aa. Répercussions de la consommation chronique de cannabis sur la santé psychique générale

Il doit d’abord être clairement souligné que la
présentation suivante se réfère uniquement à des consommateurs
psychiquement dépendantes. [57]
Des utilisateurs de cannabis non dépendants ne montrent aucun
différence considérable comparés aux personnes abstinentes dans leur
santé psychique. [58]

Le fait, que des personnes diagnostiquées dépendantes
psychiquement du cannabis, souffrent fréquemment de troubles cognitifs,
psychotiques, affectifs et d’état non spécifiques de troubles de la
personnalité et du comportement [59], la question se pose ici : Dans quelle mesure le cannabis est-il responsable de cela ? En revanche, de nombreuse études [60],
qui avaient comme objet l’examen des répercussions de la consommation
de cannabis sur la condition psychique en générale n’avaient établi
aucune évidence que la consommation du cannabis soit liée à une
détérioration de la santé psychique ou du bien-être psychique. [61]
Pourtant sous le terme de « santé psychique » il été analysé aussi des
aspect comme incommodité psychiques, satisfaction vitale, problèmes
émotionnels, amour-propre, névrotiques, psychopathies, anxiété,
dérangement affectif, dépressions et sociopathie, ainsi des
perturbations liées à là peur, au comportement, à l’attention et aux
émotions. [62] Même si parfois une liaison entre la prise de cannabis et l’apparition de mécontentement psychique [63]
était établit, il ne pouvait jusqu’ici pas être conclu de manière
définitive, dans quelle mesure le cannabis en était effectivement le
déclencheur. On peut plutôt supposer que, chez plus de 70 % des
consommateurs dépendants de cannabis concernés, un autre trouble est
responsable du manque de bien-être. [64]

En ce qui concerne les jeunes consommateurs, un large
consensus scientifique existe pour démontrer que la plupart des
adolescents qui présentent des problèmes psychiques ainsi que des
trouble de comportement et qui ont un forte penchant vers la
consommation de cannabis, présentaient avant l’usage du cannabis déjà
tant des difficultés psychiques et émotionnelles, que des divergence
dans le comportement. Chez des mineurs socialement intégrés, il existe
un danger vraiment insignifiant de développer une consommation
problématique. Dans quelle mesure les différentes relations familiales
influencent sur des comportements de consommation reste un point encore
inexpliqué. [65]

Même si la consommation du cannabis est capable de
renforcer les soucis et les problèmes des mineurs, il ne peut être
question en aucun cas que le cannabis seul soit la cause unique des
troubles psychiques mentionnés. [66]

En particulier il semble absurde dans ce contexte d’argumenter avec les expérimentations sur des animaux [67] pour déduire de cela les sensibilités spécifiques liées à l’adolescence. [68]

C’est plutôt justement à la jeunesse d’essayer et
d’expérimenter le cannabis et cela doit être vu comme le signe d’une
psyché saine. [69]

bb. Consommation de cannabis et développement de psychoses

On peut indubitablement compter parmi les scénarios d’horreur avancés ces derniers temps celle de la formation de psychoses. [70]

Part rapport à la question, si l’utilisation chronique [71]
du cannabis mène à des psychoses permanentes, c’est la "psychose
schizophrène" qui doit faire l’objet de l’examen. La raison est que le
point de vue du concept "psychose de cannabis" utilisé auparavant et
entre-temps refusé, ressemble plutôt à l’aspect de la maladie de
schizophrénie. [72]

À ce sujet il faut nuancer en plus : l’usage du
cannabis est-il capable de renforcer des schizophrénies existantes, ou
la consommation de cannabis peut-elle déclancher une psychose
schizophrène ?

Quant à la première question des études révélaient [73],
qu’un usage quotidien (un jusqu’à deux fois par jour) n’entraîne aucune
détérioration significative tant pour les symptômes de délire, que pour
l’hallucination (aussi nommée plus symptomatique) [74], tandis qu’une multiple consommation quotidienne de cannabis peut renforcer la "plus symptomatique". [75]

Concernant la "minus symptomatique" (perte d’élan et de motivation) [76]
qui apparaît après des poussées aiguuës de maladie, aucun matériel
d’étude suffisant n’est à disposition, seules des suppositions peuvent
être faites ici. La possibilité existe cependant qu’une consommation
modérée de cannabis amène vers une amélioration de la minus
symptomatique. [77]

Il n’est pas encore avéré, que la consommation de
produits de cannabis peut devenir le déclencheur d’une apparition de
psychoses schizophrènes. Des recherches réalisées [78]
à ce sujet-là ne permettent pas encore des résultats évidents. Ainsi
dans le cadre d’un examen suédois, certes plus d’hommes présentent une
maladie schizophrène qui, par avant, avaient consommés plus que 50 fois
du cannabis que les hommes avec moins de 50 expériences avec du
cannabis. [79]
Pourtant tous les participants qui, plus tard, étaient atteints à la
schizophrénie, avaient pris déjà avant l’apparition de la maladie, des
médicaments à cause des problèmes nerveux, venaient d’un milieu
familial détruit et avaient des problèmes avec l’école et la police. En
plus l’usage des amphétamines été aussi constaté par fois. [80]

En revanche d’autres études révélaient également un
risque augmenté de développer des psychoses schizophrènes, pourvu que
des personnes vulnérables aux psychoses consomment du cannabis. [81]
Dans quelle mesure des débuts de maladie ou des problème sociaux et
psychiques auraient éventuellement participé à l’apparition de la
psychose, il ne peut y être répondu. [82]
Ainsi, selon l’opinion d’autres on ne peut justement pas prouver, que
l’usage du cannabis peut servir de cause pour le déclenchement des
psychoses. Comme confirmation pour cette déclaration il est indiqué que
en raison du nombre de consommateurs en hausse, la conséquence logique
serait que le nombre de maladies schizophrènes devrait aussi augmenter,
si le cannabis compte comme déclencheur. Ceci ne pouvait en tout cas
pas être prouvé dans les études correspondantes jusqu’ici. [83]
Malgré tout, on doit partir de la possibilité, même si les résultats de
l’enquête sont jusqu’ ici incomplets et parfois contradictoires, que
des utilisateurs chroniques et des grands consommateurs avec un fardeau
psychique courent un plus grand risque de développer une psychose
schizophrène. À vrai dire il doit être pris en compte que, dans ces cas
précis il faut s’attendre, à ce que l’apparition de la maladie soit
aussi possible sans la consommation du cannabis. [84]

Un rapport causal de la consommation de cannabis et de
schizophrénie, comme contribution au risque global de tomber malade
d’une schizophrénie, est ainsi insignifiant et dans la plupart des cas
à négliger. [85]

En revanche quels facteurs non découverts et non
découvrables les sont-ils susceptibles d’être des déclanches de
maladies ? Cela reste à éclaircir. [86]
Malheureusement à ce sujet et sur le fait que, même si c’est vrai que
seul un très petit nombre de consommateurs est potentiellement
concernés par ces conséquence, on attire l’attention souvent que dans
une proposition subordonnée et, en général, après des longues
explications de plusieurs pages sur des maladies de schizophrénies dues
à la consommation de cannabis. [87]

c. Répercussions de la consommation sur la performance cérébrale

Comme mentionné plus haut, il ne peut pas être prouvé
que l’usage du cannabis conduit à des atteintes organiques du cerveau.
On va présenter par la suit, si et dans quelle mesure une consommation
chronique de cannabis entraînerait une entrave à l’activité cérébrale
concernant l’attention, la mémoire et les performances intellectuelles
en général. Aussi dans ce domaine de nombreuses études ont déjà été
faite depuis le début des années 70. En raison des conditions d’examen
il en ressortait parfois une pertinence insignifiante ou même carrément
des résultats opposés. [88]
Un jugement évident et une conclusion finale ne sont donc pas possibles
en ce moment. Toutefois il faut retenir en résumé, qu’encore entre 12
voire 24 heures après la dernière prise de cannabis, une entrave quant
à la mémoire, l’attention et la capacité de réaction est réelle. Ces
propos réducteurs sont encore en rapport direct avec l’effet de
cannabis aigu et n’ont donc aucune force d’exemple à l’égard
d’éventuelles lésions à long terme. [89]
S’il avait une période plus longue entre la dernière prise de cannabis
et les tests respective, quelques examens laissaient supposer, que des
diminutions durables de la performance cérébrale sont absolument
possibles. [90]
Il ne doit pas être ignoré, que dans la plupart des cas une différence
entre des consommateurs et les non consommateurs, quand de fait,
pouvait être constaté seulement pour un part variable de tests
effectues. [91]
De plus il est constaté qu’on trouve des baisses de performance parfois
découvertes souvent que chez des personnes qui consommaient du cannabis
pendant plusieurs années de façon quotidienne et à de multiples
reprises. En sorte que des diminutions cognitives doivent être vues
particulièrement en rapport avec les modes de consommation. [92]
Chez
des personnes qui consomment p.ex. entre deux et sept fois chaque
semaine, les études ne révélaient en revanche aucune diminution avérée
de la performance. [93]
En plus il été parfois aussi établi, que des baisses possibles dans la
capacité de performances ne sont plus démontrables après une phase
d’abstinence. [94]
En explication on peut considérer q’une augmentation du flux sanguin
dans le cerveau grâce à la consommation de cannabis, qui se normalise
selon la durée et la fréquence de consommation dans quelques jours ou
semaines. [95]

Dans quelle mesure qu-on peut présumer, qu’une
consommation chronique de cannabis conduit en principe à une perte de
performance cérébrale, n’est pas claire. [96]

En étudiant les études faites, on peut pourtant dire,
que une consommation à long terme de produits de cannabis ne mène pas
forcement des déficits cognitifs graves. Des atteintes massives de la
mémoire, de l’attention et des fonctions cognitives, comme on les
trouve auprès de consommateurs chroniques d’alcool, ne peuvent
également pas être attribuées sous cette forme démesurée à l’usage de
cannabis. [97]

Par contre il semble que la présomption est probable,
qu’un usage fréquent et continuel de cannabis peut porter atteinte de
façon subtile et sélective à des fonctions cognitives supérieures. [98]
Si
et dans quelle mesure cela se manifeste dans l’accomplissement des
tâches quotidiennes est également inexpliqué. Même ici il peut pourtant
être argumenté au vu du grand nombre déjà mentionné de consommateurs
quotidiens en Europe. La question réapparaisse de nouveau : Comment de
fortes pertes de performances peuvent-elles rester si longtemps
inaperçues. D’autant plus qu’il a était découvert, que les personnes
avec un niveau de formation hautes consomment plus fréquemment du
cannabis, que les personnes avec un niveau de formation plus bas. [99]

Si ceci vaut aussi pour les personnes, qui ont commencé
une consommation chronique de cannabis à un très jeune âge, ou si dans
ces cas il faut compter plutôt avec des apparitions d’entraves plus
tard, ne peut également pas être jugé définitivement. [100]
De toute façon, selon l’étude de DeLisi et al. il peut être présumé que
la consommation de cannabis des mineurs n’est pas accompagnée avec de
changements au niveau du cerveau. [101]

Il a déjà été mentionné plusieurs fois que, le danger
d’une substance ne se laisse pas mesurer par rapport à la dangerosité
pour des groupes de consommateurs définis comme p. ex. les mineurs ou
les très fort consommateurs.

d. Répercussions sociales et autres d’un usage chronique de cannabis

En ce qui concerne les difficultés d’arriver à des
constatations de répercussions qui ont leur cause non-organique dans
l’usage de cannabis, ce qui été dits au début sous la partie 2b est
conformée.
Voyons d’abord l’argument sorti de nouveau que la consommation de
cannabis amènerait à l’usage d’autres drogues. On doit aussi aborder en
question si une forte consommation de cannabis durable mène à des
changements de personnalité dans le domaine de la volonté, de
l’activité et des performances, ce qui conduise au développement d’un
"Syndromes amotivationelle" [102].

aa. Cannabis comme drogue de l’escalade

La question, Dans quelle mesure l’usage du cannabis
conduit aussi à consommer d’autres drogues illégales a été long temps
discuté. [103]

Maintenant il existe une entente, qu’une multitude de
personnes dépendantes des substances opiacées ont consommée certes
comme première substance illégale du cannabis. [104]
Au contraire cependant la plus grande partie des utilisateurs de
cannabis ne passe jamais à d’autres substances illégales, en
particulier aux substances opiacées. [105] Qu’il existe un rapport causal, entre la consommation de cannabis et la prise d’autres drogues illégales est à rejeter. [106]
Il faut plutôt partir de ce que beaucoup d’utilisateurs de drogue
consomment d’abord des boissons alcoolisées comme bière et vin,
cigarettes ou médicaments. [107]
La consommation de cannabis vient après celle des drogues « légales »
et peut être suivie d’une consommation éventuelle d’autres drogues
illégales. Par conséquence présente les produits de cannabis, quand en
fait, seulement un pas intermédiaire. [108]

Ainsi le BVerfG (Cour constitutionnelle allemande) a
aussi refué une fonction de meneur, pour vu que il s’agit des qualité
matérielle des produits de cannabis. [109]
Le tribunal a pourtant supposé un certain effet d’escalade sur d’autres
drogues illégales par rapport à l’unité du marché noir des drogues. Le
fait est, que des consommateurs de cannabis, lors des achats chez leur
dealer, entrent aussi en contact avec d’autres drogues illégales, ce
qui permet d’essayer ces autres substances. [110]
Entre-temps on doit pourtant douter, que l’idée d’un milieu de drogue
subculturel correspond encore à la réalité part rapport au cannabis.
Dans beaucoup de cas on peut présumer que le cannabis est acheté en
privé auprès des amis et des connaissances, afin qu’il ne soit plus
nécessaire d’aller dans le milieu de la drogue. [111]
Dans le cas contraire il ne peut toutefois pas être attribué à la
substance du cannabis d’avoir une fonction d’escaladeur. Car la raison
pour l’uniformité du marché noir est exclusivement dû à la
criminalisation, a tel point qu’elle doit être estimé comme raison pour
des contacts potentiels à d’autres drogues.

En conséquence la thèse de "la drogue de l’escalade" ne
peut plus être maintenue d’aucun point de vue pour ce qui est du
cannabis. [112]
Ce résultat scientifiquement unanime ne peut rien changer, ni par une
possible hausse de substance active ni par des plaidoyers correspondant
de procureurs.

bb. Le syndrome amotivationnel

Sous l’appelation "syndrome amotivationnel " on entend
surtout l’apparition de symptômes comme la réduction d’initiative et
d’activité générale, l’indifférence concernant les exigences de la vie
quotidienne, le manque de détermination respectivement d’orientation
d’avenir, le manque d’orientation à la performance aussi bien que la
concentration momentanée accentuée par le plaisir chez le
consommateur. [113]
La question se pose dans quelle mesure la consommation de cannabis de
n’importe quelle façon doit-elle toujours mener obligatoirement à
l’apparition de la symptomatique, respectivement si la cause du
syndrome amotivationnel doit être trouvée effectivement dans la
consommation du cannabis, ou si d’autres problèmes psychiques amènent
des consommateurs à de tels comportements.

De nombreux examens effectués sur des étudiants et sur des ouvrier avec et sans conditions de laboratoire [114] arrivent à la conclusion que la consommation de cannabis ne mène justement pas à l’apparition des démotivations décrites. [115]
Ainsi la symptomatique, qui en fait a été attribués au syndrome
amotivationnel peut aussi être observée chez des non-consommateurs. [116]
D’autre part il se trouve que des personnes qui sont extrêmement
orientées vers la productivité sont aussi observés parmi les
consommateurs de cannabis. [117]
Une correspondance causale entre la consommation de cannabis et une
baisse de la motivation de performance ne peut, par conséquence pas
être établie. [118]

On peut, en comparant, des non-consommateurs à des
utilisateurs de cannabis dire, que ces derniers sont certes dans une
moindre nombre, mais pas du tout peu orientés vers la productivité. [119]
Ainsi les personnes expérimentées du cannabis sont plus fréquemment
motivées à des performances normale que des personnes inexpérimentées
au cannabis, voire des abstinents du cannabis alors que des personnes
inexpérimentées et abstinentes du cannabis sont plus fréquemment
orientées vers de la haute performance. [120]
Une des raisons peut être, qu’une partie des personnes qui utilisent du
cannabis, avaient déjà avant le début de la consommation des habitudes
préférentielles, qui sont moins orientés vers la performance et la
carrière. L’usage du cannabis, avec l’effet aussi bien relaxant
qu’apaisant, s’intègre par conséquence dans leur mode de vie
souhaitées. [121]
D’autre part des personnes qui sont extrêmement motivées à la
performance semblent ne pas être réceptifs à un usage plus ou moins
prolongé de cannabis. [122]

La thèse du syndrome amotivationnel comme suite typique d’une consommation de cannabis est en conséquence à rejeter. [123] Aussi ce résultat est valable indépendamment de la teneur en THC du produit de cannabis consommé.

e. Dépendance physique et psychique de substance

Selon les systèmes internationaux développés pour la classification (ICD-10 [124], DSM-IV [125])
on parle d’une dépendance seulement quand un minimum de
caractéristiques des listes de critères est avéré. Ces listes
contiennent des caractéristiques telles le souhait renforcé de prendre
la substance à nouveau ; Difficultés à l’égard du contrôle de la
consommation, usage continuel de substance malgré des suites nuisibles,
apparition de symptômes de manque après l’arrêt de la prise de
substance, développement d’une tolérance significative qui conduit à
l’augmentation de la dose et manque de priorités à l’égard des tâches
de la vie quotidienne, comme école, profession, activité sociale et
activités de loisirs. La consommation devient prioritaire à d’autres
activités et aux engagements. [126]

aa. Dépendance physique de cannabis

En principe on entend par une dépendance corporelle que
des symptômes de manque apparaissent après un arrêt de la substance.
Les symptômes de manque sont définis soit en tant que réactions de
manque inhérentes à la substance de manière typique, ou en tant que
comportement, qui s’exprime sous forme de consommation de la même
substance ou d’une autre agissant semblablement pour prévenir ou
remédier aux symptômes de manque. [127] En plus dans une dépendance corporelle il est possible de développer une tolérance. [128]
On entend par développement de tolérance, que malgré la prise continue
d’une constante quantité de substance, un effet déprécié survient, sur
lequel le consommateur dépendant augmente la quantité correspondante,
jusqu’à ce que l’effet souhaité soit atteint. [129]

Concernant la question, dans quelle mesure ces
symptômes doivent-il aussi être attribués à l’usage du cannabis, il
faut distinguer entre consommation irrégulière respectivement passagère
et consommation chronique.

aaa. Consommation occasionnelle et épisodique

Des tolérance au produit apparaissent, si vraiment, seulement quand le THC est pris à très haute dose [130] et pendant des périodes très longues, pour que soit possible le développement d’une intoxication chronique. [131]
Par conséquence, un usage modéré, voire passager ne mène, selon la
conception générale, ni à un développement de tolérance, ni à une
dépendance corporelle, aussi la possibilité d’éventuels symptômes de
manque est a réfuter. [132]

bbb. Consommation chronique

Comme expliqué plus haut, les parutions de tolérances
peuvent apparaître, pour autant que le cannabis soit pris en grande
quantité et pendant une longue période. [133] Les effets de tolérance concernent la hausse de la pulsation ainsi que l’effet -´high`. [134]
Les études faites ont trouvé pourtant aussi à ce sujet des résultats
différents, ce qui se laisse par contre expliquer avec des remise de
doses différentes. [135] Jusqu’ici encore aucune explication scientifique sur le sujet du développement de tolérance ne pouvait être trouvée. [136] Comme raison du développement à la tolérance principalement supposé, des processus pharmacodynamique sont donnés. [137]
Malgré le développement de tolérance potentiel, l’augmentation de doses
ne se fait pas de manière typique avec la quantité de cannabis utilisé,
mais -si vraiment c’est le cas- à travers la fréquence de la
consommation. [138]
Il
a été cependant aussi constaté que la tolérance vis-à-vis des
différents effets du cannabis est rapidement et complètement
réversible. [139]

En égard au fait que le développement de tolérance au
cannabis ne conduise justement pas forcément à une augmentation de
dose, on doit se poser la question à savoir si les critères du
développement de tolérance doivent être considérés comme étant
réalisés. D’après le système de critères DSM la formation de tolérance
n’est pas impérieusement applicable sur le cannabis. [140]

On peu à cause de cela encore parler de la possibilité
d’une dépendance physique qui s’oriente entre autre, après l’arrêt de
la prise de cannabis apparaissent des symptômes de manque. Des examens
réalisés à ce sujet ont révélé qu’une partie des participants
développent après l’arrêt de la prise de THC de légers symptômes tells
que désarroi, nervosité, troubles du sommeil, perte de l’appétit,
nausées, transpiration augmentée, plus de salivation, température du
corps augmentée, tremblements et perte de poids. [141] Ici aussi les examens n’ont pas toujours amené des résultats évidents voire des résultats transmissibles à l’humain. [

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